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Equi’dena est un domaine qui s’étend sur une quinzaine d’hectares en surplomb des vallées ardéchoises, la vallée du Rhône et la vallée de l’Eyrieux. Véritable coin paisible pour les chevaux et leurs cavaliers, vous trouverez de nombreux chemins de balade offrants de magnifiques panoramas.

Pourquoi ce nom ?

J’ai longtemps réfléchi au nom que je voulais donner à ce lieu. Il me fallait quelque chose d’original mais facile à retenir, qui parle aux gens mais qui reflète aussi ma personnalité et mon travail. Il fallait aussi qu’il aille avec mon logo que j’ai dessiné (puis fait réalisé à Adlynh Illustrations) en m’inspirant de ces mots que j’affectionne : harmonie ; confiance ; respect ; nature ; liberté.

Mon choix s’est finalement porté sur « Equi » qui émet tout de suite l’idée d’équidé dans l’esprit des personnes et de « Dena » qui veut dire « Vallée » en Lakota. Dena fait référence au lieu du centre mais aussi à une culture que j’apprécie et j’admire fortement. Les tribus amérindiennes portaient un profond respect aux chevaux, à la nature et aux êtres vivants tout simplement.

Mon Parcours

Manon Sauvaire

Créatrice d’Equi’dena

Comme beaucoup d’entre nous, j’ai commencé dès toute petite l’équitation. Directement passionnée par les chevaux, j’ai suivi des cours en club pendant plus de 15 ans. Mais avec la chance de baigner dans l’équitation dite éthologique dès le début puisque mon centre équestre d’enfance (La Mouline) est le premier de France à avoir instauré l’équitation naturelle (sans mors ni fers) et l’équitation éthologique au sein de son club. A 13 ans, mes parents m’ont offert mon premier cheval, Oscar. J’ai tout de suite commencé les cours d’équitation éthologique avec lui. On a tout appris ensemble et notre progression se faisait d’année en année. C’est le premier cheval qui m’a fait découvrir mes premières sensations d’unité, de travail en liberté, de confiance à pied et qui m’a mené à cette quête si spéciale qui est l’harmonie ultime. A 16 ans, Queysy m’est confiée pendant 6 mois. Jument très compliquée, elle m’a fait me remettre en question sans cesse et m’a beaucoup appris. Perdue pendant trois ans, le destin nous a remis sur le même chemin et j’en deviens propriétaire pour mes 20 ans, en 2016.

Après le lycée, je suis revenue à l’équitation dite classique via mes études de BTS et mon BPJEPS Tourisme Equestre. J’ai découvert différents mondes dont l’endurance, les écuries de courses (galopeurs), l’élevage etc… mais malgré les connaissances acquises au travers de ces diverses expériences, je n’avais qu’une hâte c’était de remonter sur mes chevaux en liberté, sans artifice, et partir en balade ou travailler à pied avec eux. Pendant cette période, je m’achète Blue, mon poney welsh mountain. Véritable clown et bouille à bisous, je l’ai acquis dans une optique de travail en liberté seul et avec les chevaux.

Aujourd’hui, je continue ce qui m’a toujours passionné : comprendre et travailler les chevaux et aider leurs propriétaires à améliorer leur relation.

Ma Méthode

En fait, je n’ai pas de méthode précise. Au fil des années, j’ai pioché dans les différentes méthodes : Parelli, La Cense, Elisabeth de Corbigny, John Lyons etc… et j’ai appris via mes expériences. Je continue chaque jour à me former auprès des chevaux, des personnes ou via la lecture.
Mais il est important pour moi de laisser s’exprimer le cheval. C’est lui qui m’apporte les solutions, qui me guide dans ma réflexion et mon travail. Il faut prendre en compte sa personnalité mais aussi sa locomotion et son physique. Je souhaite avant tout qu’il est une vraie vie de cheval, véritable philosophie d’Equi’dena.

La Philosophie du Domaine

Si nous prenons un cheval à l’état sauvage, il passe plus de la moitié de son temps à s’alimenter, soit 15 à 16 heures par jour, tout en se déplaçant. Il passe un tiers de son temps, soit 5 à 7 heures, à se reposer. 1 à 2 heures à observer son environnement et autant pour se déplacer, hors phase d’alimentation. En plus, de courtes périodes sont réservées aux jeux, à la socialisation et aux autres comportements. Nous ne pouvons pas recréer de façon identique leur vie à l’état naturelle mais nous pouvons nous en rapprocher. C’est pour cela que les chevaux vivent en petit troupeau dans différents prés de plus d’un hectare avec herbe et/ou foin à volonté. Ils ont un accès libre à un abri ou à une forêt et bénéficient de terrains et dénivelés différents. Les équidés vivent sans fers et en extérieur, à l’année. Tous mes chevaux sont montés sans mors et sont dressés avec douceur et légèreté.